Date de reprise des cours

Afin de laisser aux anciens adhérents le temps de se retourner, et à la mairie de réaliser l’audit de sécurité de la salle (à cause du « coin convivialité », dangereux de mon point de vue), les cours reprendront à la maison de quartier Mairie-Ourcq après les vacances de la Toussaint, c’est-à-dire le mercredi 6 et le vendredi 8 novembre 2024.

Je rappelle que pour adhérer, ou simplement faire un cours d’essai, il est impératif de remplir un bulletin d’inscription (nouveau modèle), ainsi que les documents de santé.

La Mairie a (enfin) pris contact

Réinscription au cours de roller

Le 25 septembre 2024 a eu lieu à la mairie une réunion avec Mme Leïla Slimane, responsable pour la mairie des associations.

Elle a donc proposé, en compensation du mercredi mensuel en moins, de nous attribuer, en plus de créneaux existants, le créneau de mercredi de 17h30 à 19h.

Les inscriptions sont donc maintenant rouvertes, sachant que, vu la période tardive de cette réouverture, beaucoup ont déjà organisé leur saison indépendamment de Pantin à Roulettes.

Merci donc, si vous avez encore de la place pour le roller, de me renvoyer au plus vite votre bulletin d’inscription (si ce n’est pas déjà fait) en précisant le créneau demandé. Et n’hésitez pas à choisir le nouveau créneau du mercredi, pour l’instant, il est vide.

A bientôt

Épilogue du conflit avec la Mairie

Fin des cours de roller à la Maison de Quartier

Le 21 aout, j’écris une lettre au Maire :

Bonjour Monsieur le Maire,

Je reviens sur ma lettre du 12 juillet, restée sans réponse, à part une fin de non-recevoir de la part de Mme Leïla Slimane.

En effet, je ne peux croire que cette belle association se termine sur un mot de trop, mot dont je me suis excusé peu après, sans résultat.

Ma question reste la réponse à donner aux 35 demandes d’adhésion (au jour d’aujourd’hui), et à celles qui ne manqueront pas d’arriver d’ici au salon des associations.Pour mémoire,depuis 2018, je comptabilise environ 50 adhésions par an ; ceci représente un maximum, au regard de la dimension de la salle et du fait que je suis seul. L’absence de réponse de votre part me met dans l’embarras, car si l’association se termine, il n’y aura plus de cours de roller à leur proposer.

Je conçois assez bien que d’initier des pantinois au roller est de peu d’importance à vos yeux, ce n’est même pas un sport olympique, cependant cela permet à des femmes et des enfants, pour la grande majorité, de pratiquer un sport, qui est sans doute le seul, à un prix très modique (l’adhésion annuelle reste à 40 € depuis sa création).

Mais si la réponse à cette lettre du 12 juillet est justement cette absence de réponse, alors je considérerai que les cours de roller à la Maison de Quartier Mairie-Ourcq sont une affaire classée, et vous pourrez sans scrupule, affecter les créneaux précédents à d’autres associations.

Espérant de votre part une réponse rapide, je vous d’agréer, M.le Maire, mes sentiments respectueux.

Sans réponse !

Le 8 septembre, je réécris au Maire :

Bonjour M. le Maire

A l’heure actuelle, la situation semble bloquée avec l’association Pantin à Roulettes, et je trouve ça dommage. Mais peut-être faudrait-il rappeler l’enchaînement des faits avant de fermer les portes.

Mi-mai, le nouveau directeur de la maison de quartier Mairie-Ourcq, M. Sylla, m’annonce la suppression d’un créneau le mercredi, sans la moindre compensation ni explication solide.

Voyant que rien ne bouge plus, je vous envoie une lettre ouverte le 12 juillet, et Leïla Slimane me propose un rendez-vous téléphonique le 16 juillet. Elle m’explique le bien-fondé de cette suppression, information intéressante, mais accessoire à mes yeux. Nous en venons au mode fonctionnement de M. Sylla, et là, le ton monte, aidé par la mauvaise qualité de la liaison téléphonique, et Mme Slimane a ses mots : « nous n’avons plus rien à nous dire, restons-en là ».

Je me suis immédiatement excusé par courriel, sans réponse depuis ce jour. N’ayant eu strictement aucun contact depuis avec Mme Slimane, je me suis permis d’en appeler à vous pour essayer de dénouer cette affaire.

Je vous ai donc envoyé le 21 août un courriel, afin d’essayer de reprendre un dialogue en passant par dessus les mots définitifs de Mme Slimane.

N’ayant eu aucune réponse de votre part, sur un sujet qui me paraît pourtant d’une certaine importance, j’ai prévenu mes adhérents le 3 septembre, que devant votre mutisme, je supprimais les cours de roller.

Ceci a entraîné plusieurs lettres de parents mécontents de cette décision, et a sans doute motivé, le 4 septembre, une réponse de votre part à mon encontre. Et j’y ai été outré de lire que Mme Slimane « se tient à mon écoute, comme elle l’a toujours fait ».

Je persévère donc dans ma décision, jusqu’à ce que Mme Slimane daigne enfin discuter calmement avec moi, et sans doute avec M. Sylla.

Des personnes proches de la Mairie me disent que vous êtes désolé de la situation, je veux bien le croire, par manque d’information, mais dans ce cas de figure, c’est l’attitude sans issue apparente de Mme Slimane qui a entraîné cette situation qui vous semble inextricable.

J’espère que cette lettre vous permettra de mieux appréhender la situation, et que vous saurez démêler cet écheveau, au plus grand bénéfice des enfants et des adhérentes et adhérents de Pantin à Roulettes.

Dans l’attente de ce dénouement, je vous prie de croire, M. le Maire, à l’assurance de mes sentiments respectueux.

Le 4 septembre :

Certains adhérents ont exprimé leur étonnement auprès du Maire, ce qui a sans doute motivé une « réponse » de celui-ci.

Mais surtout, l’un d’eux a reçu une réponse (enfin) de Mme Slimane, dans laquelle elle prétend : « Je reste à votre écoute et celle du Président, comme je l’ai toujours fait, pour rediscuter des conditions d’accueil de l’association ».

Devant le double langage de la responsable des associations (« nous n’avons plus rien à nous dire, restons-en là » et « je reste à votre écoute … comme je l’ai toujours fait »), j’ai envoyé cette lettre à Mme Slimane, qui est bien sur à mon écoute (mais qui ne répond pas). Je réponds donc à Mme Slimane :

« Bonjour Mme Slimane

Depuis le 16 juillet, où nous nous sommes quittés sur ces mots de votre part : « nous n’avons plus rien à nous dire, restons en là », je n’ai eu aucune nouvelle de votre part.

De même, à propos de l’idée d’un créneau le mercredi matin, vous avez dit : « je regarde avec la maison de quartier, et je reviens vers vous ». Ceci aussi est resté lettre morte, mais comme c’était de ma part une mauvaise idée, je n’ai pas relevé.

Pourtant, dans ma lettre au maire du 12 juillet, j’avais bien précisé qu ‘en l’absence d’intervention de la mairie, je cesserai mes activités.

Vous avez donc laissé traîner cette histoire, me poussant ainsi à la démission. Car vos paroles définitives du 16 juillet m’interdisaient de vous contacter. D’autant plus que je vous avais immédiatement envoyé un courriel d’excuses, que vous auriez pu refuser ou accepter, mais non, silence radio depuis cette date.

Alors quand je lis dans un courrier que vous avez envoyé à un adhérent qui s’inquiétait de votre mutisme : « Je reste à votre écoute et celle du Président, comme je l’ai toujours fait, pour rediscuter des conditions d’accueil de l’association. », je vois bien là votre duplicité :  «  nous n’avons plus rien à nous dire »  et « je reste à l’écoute, comme je l’ai toujours fait. ».

J’ai envoyé une lettre au maire le 8 septembre, résumant l’historique, et lui demandant d’intervenir, puisque « nous n’avons plus rien à nous dire ». Je croyais alors qu’une intervention pouvait arranger la situation. Mais devant votre attitude méprisante et vos propos performatifs, je pense qu’il est inutile que je me ronge les sangs pour essayer la moindre communication avec la Mairie.

Visiblement, vous préférez toucher une subvention de la politique de la Ville, que d’ailleurs je ne vous refuse pas, plutôt que d’écouter les doléances d’un bénévole et de ses adhérents.

Et si j’ai cru bon d’en informer mes adhérents et les réseaux sociaux, c’était pour vous inciter à m’écouter.

Je crois que vous m’avez dégoûté de la politique locale. »

Donc, je ne veux pas passer mon temps et mon énergie à me bagarrer avec des personnes qui ne tiennent pas leur parole et ne répondent que lorsque ça les arrange, je mets fin aux cours de roller à la Maison de Quartier Mairie-Ourcq.

Jacques DAVID

Suite à la lettre du maire v2

Vendredi 6 septembre 2024

Après le billet précédent, certains adhérents se sont plaints auprès du maire et de ses adjoints du manque d’écoute de la mairie, et je les en remercie, car cela a fait (un peu) bouger les choses.

Le maire m’a envoyé une lettre le 4 septembre, dans laquelle il m’explique pourquoi il me supprime un créneau. Je suis content d’avoir cette information, mais à aucun moment il ne parle de m’attribuer un créneau en compensation.

Le maire est maître chez lui, il peut disposer des créneaux de la maison de quartier à sa volonté, mais peut-être, par égard au travail déjà effectué et aux enfants que cela lèse, pourrait-il réfléchir à ne pas trop considérer une association sans but lucratif comme quantité négligeable, qu’il n’est pas nécessaire de consulter ou de compenser.

Suite à la lettre ouverte à M. le Maire

Bonjour,

Suite à cette lettre, j’ai eu, le 16 juillet, un entretien téléphonique houleux avec L. Slimane, élue du « pole Égalité et Citoyenneté », qui ne supporte pas la « mise en cause d’agent de la ville ». Le ton est monté et j’ai reçu une fin de non-recevoir.

Et de fait, malgré une relance au Maire le 21 août, la Mairie fait la muette.

Je me vois donc dans l’obligation de suspendre les cours de roller à la Maison de Quartier Mairie-Ourcq jusqu’à nouvel ordre, en espérant qu’enfin la Mairie daigne me répondre, au moins sur la suppression du créneau du mercredi après-midi.

Pour les personnes qui m’ont déjà envoyé leur règlement pour la saison 2024-2025, sachez que les chèques ne sont pas encaissés, et seront détruits si la situation perdure. Je ne saurais trop conseiller à celles ou ceux qui souhaiteraient tout de même apprendre le roller l’excellente associations, aux Lilas, la Roolilalet’s.

Si des personnes pouvaient intervenir auprès des instances municipales pour pousser ces instances à sortir de leur mutisme, je leur en saurais vraiment gré.

Lettre ouverte à M. le Maire de Pantin

Depuis 2018, je suis le président d’une association « Pantin à Roulettes » qui s’est donnée comme but de faire découvrir le roller à un maximum de gens, enfants, adultes et familles. Le roller est certes un amusement, mais c’est aussi un sport et un moyen de déplacement urbain écologique, lorsque l’on maîtrise les bases, d’où ce club.

J’ai trouvé chez les différentes directrices de la Maison de Quartier Mairie-Ourcq, une écoute attentive et bienveillante, en me permettant d’utiliser la salle polyvalente pour initier mes adhérent·e·s, le mercredi après-midi et le vendredi soir. Et j’ai pu initier ou faire progresser environ 50 personnes par an depuis le début, hors période covid.

Encouragé par cette attitude, j’ai participé, chaque fois qu’il m’était possible, aux activités de la Ville, comme la « Journée sans Voiture », ou la « fête de quartier des 4 chemins », entre autres.

Mais récemment, le directeur de la Maison de Quartier a changé, et avec lui, la belle ambiance de convivialité :

  • Comme chaque année depuis 2018, j’avais demandé et obtenu, pour un soir, hors période covid, l’accès à la salle qui est pourvue d’un vidéo-projecteur, pour présenter l’Assemblée Générale de l’association. Cette fois, le directeur me l’a refusé, et lors de l’Assemblée Générale de fin d’année, mes adhérents ont approuvé le bilan financier sur ma bonne foi, faute de visualiser les chiffres.
  • De plus, lors de la première réunion de présentation avec ce directeur, il m’annonce qu’il me supprime un créneau du mercredi après-midi par mois. S’en prendre à des enfants, qui sont en majorité les pratiquant·e·s du mercredi est particulièrement injuste. Ce genre de restriction à mon activité, sans explication, indique que cette activité n’est pas considérée comme importante par ce personnage, et j’en tire donc la conclusion qui s’impose : l’activité de « Pantin à Roulettes » est donc suspendue jusqu’au retour de ce créneau, à moins que quelqu’un, aux reins plus solides que les miens, veuille bien reprendre l’activité.

Il vous faut comprendre, M. le Maire, que la gestion d’une association à but non lucratif demande une charge mentale importante, et que, même si elle m’a permis de rencontrer des gens admirables, elle demande aussi beaucoup de travail ; et ce travail ne peut s’exercer que dans une ambiance détendue, et non avec un directeur jupitérien et brutal, qui impose ses diktats selon son bon vouloir.

En espérant de votre part une médiation pour pouvoir sincèrement faire perdurer une association qui permet à des habitants du quartier prioritaire de la ville, à peu de frais (40 € l’adhésion pour un an !) de pratiquer un sport écologique.

Je vous remercie d’avoir pris le temps de cette lecture, bien respectueusement

Jacques David | Président de Pantin à Roulettes
24 rue Hoche, 93500 Pantin
tél. : 06 51 76 78 57, mél: pantin.a.roulettes@gmail.com
https://www.pantin-a-roulettes.org/
https://www.facebook.com/Pantin.a.roulettes
Instagram @pantinaroulettes

Balade en ville du 7 juin 2024

Pantin à Roulettes sort de la salle

La salle Gavroche étant indisponible pour la préparation des élections européennes, nous somme allés nous balader en ville, pour profiter du beau temps enfin revenu, et des longues soirées ensoleillées proches du solstice.

enfant sur une patinette, rollers en arrière plan
La balade au sortir de la gare Rosa Parks

Balade tranquille qui a permis aux pratiquants de gouter au bitume en toute sécurité, car majoritairement en utilisant les pistes cyclables.

sur la parvis de la gare, enfant en patinette suivi par des rollers
La traversée de la gare RER de Rosa Parks

 

Balade (tranquille) aux Lilas

Venez participer à la balade de « Roolilalet’s ».

Dimanche en 8, le 5 mai 2024, le club de roller « Roolilaslet’s » organise une balade à roller, vélo, trottinette, etc.  Elle est gratuite et tranquille, le trajet fera environ 4 km, au total. Le rendez-vous est sur le parvis de l’école Romain Rolland, aux Lilas (près de la Mairie). Il faut y être à 14 h, roller au pied, si possible avec votre casque et autres protections, et surtout, votre bonne humeur.

 

Balade Roller aux Lilas

Venez participer à la balade de « Roolilalet’s ».

Dimanche prochain, le 22 mai 2022, le club de roller « Roolilaslet’s » organise une balade à roller, vélo, trottinette, etc.  Elle est gratuite et tranquille, le trajet fera environ 4 km, au total. Le rendez-vous est sur le parvis de l’école Romain Rolland, aux Lilas (près de la Mairie). Il faut y être à 14 h, roller au pied, si possible avec votre casque et autres protections, et surtout, votre bonne humeur.

appel à la randonnée 2024
Affiche de Roolilaslet’s
Affiche de la Roolilalet’s
Trajet de la ballade
Trajet de la 9e Balad’O’Lilas, environ 4 km

Il y a plusieurs boucles sur le trajet, pour ceux qui préfèrent se mettre en pause en attendant le retour du peloton.

 

Venez essayer le bitume, le roller, c’est aussi fait pour ça !!

 

Le roller mis en évidence à Pantin

La Ville de Pantin met à l’honneur les sportifs de Pantin, en particulier Géraldine, qui entraine le vendredi soir à la salle Gavroche.

Patineuse à roulettes
Géraldine dans la salle Gavroche

Au fond, avec son casque noir, on aperçoit le président de Pantin à Roulettes.

Le reste des photos est sur le site de Pantin : https://www.pantin.fr/la-ville/en-ce-moment/2024-pantin2024-a-nous-de-jouer-5300.